Ce qu’en dit Nadine REGNIER ROUET : « Employeurs, la sévérité de cette décision ne doit pas vous détourner de votre obligation de sécurité à l’égard de vos employés. Ne rien faire est assurément la porte ouverte à une très lourde condamnation en cas d’accident du travail et même en cas de contentieux prud’homal, en l’absence d’accident, si votre salarié invoque des conditions de travail « à risque ». » Plus de précisions ici.
Ce que j’en dis :
« La lutte contre le sentiment d’insécurité au travail peut sembler compliquée à mettre en place du fait même de sa nature. Subjectif et donc personnel par essence, il implique en tout premier lieu la nature des liens existants dans l’organisation concernée. Aussi soutient, confiance et reconnaissance dans les relations professionnelles aident à trouver conjointement des voies de solutions. La restauration du sentiment de sécurité est un travail collaboratif avant tout et est un facteur majeur de réduction de stress.
Meilleur confort psychologique > meilleur déploiement de compétences > création de valeur. » Emmanuelle PERRIER