Au travail, la nécessité de communiquer avec les collaborateurs ou d’en dépendre fait partie des facteurs principaux d’intensification du travail. Les 3 autres critères étant la réduction de marges de manœuvre (1), les gestes techniques devenant mentalement et physiquement plus éprouvants (2), ainsi qu’une augmentation et une polyvalence des tâches à gérer (3).
A ces 4 paramètres d’intensification, lorsque la dimension temporelle s’ajoute « faut que je me speede pour finir mon boulot, j’y arriverai jamais ! » (c’est la densification du travail), alors cette double chronicité « intensification+densification » fait courir un réel risque physico-psycho-social au professionnel.
Le problème donc n’est pas le smartphone en lui-même mais plutôt de quelle façon on y est « attaché » ! Kapich ? 🙂